Contexte avant le match en Scandinavie

Avant le déplacement en banlieue de Stockholm, l’entraîneur d’origine bâloise a exprimé des réserves sur le statut de favori. Il a expliqué que la Suède a disputé deux matches à l’extérieur et que la Suisse a évolué à domicile, ce qui peut tout changer rapidement et promet un duel particulièrement difficile.

Il est question de la probable reconduction de l’équipe qui a battu le Kosovo et la Slovénie après une mi-temps, ce qui serait une première sous l’ère Yakin de ne pas aligner la même formation trois fois de suite depuis le début de son mandat en 2021.

Révélation et ambition

La revanche de Freuler

Remo Freuler a indiqué qu’il aborde ce déplacement avec beaucoup de confiance et l’envie de réaliser un bon résultat. Le milieu de terrain de Bologne, qui n’a pas gardé un bon souvenir du dernier affrontement contre les Scandinaves (élimination en huitièmes de finale de la Coupe du Monde 2018), devrait à nouveau accompagner le capitaine Granit Xhaka et le milieu offensif Fabian Rieder dans l’entrejeu suisse.

En attaque, Embolo devrait conduire le trident helvétique entre Vargas et Ndoye. Il aurait d’ailleurs l’occasion d’inscrire lors d’un sixième match consécutif avec la Suisse pour égaler le record datant de 91 ans détenu par Leopold Kielholz.

Stabilité défensive

Si le feu d’artifice offensif des dernières rencontres a réjoui Yakin, le sélectionneur rappelle que seule une base solide peut permettre d’obtenir un bon résultat face aux Vikings. L’équipe affiche toutefois une stabilité notable à l’heure actuelle.

Il est donc quasiment assuré que Manuel Akanji et Nico Elvedi formeront la paire centrale devant Gregor Kobel. Bien que Ricardo Rodriguez et Silvan Widmer ne soient pas toujours indiscutables en club, ils gardent une longueur d’avance sur leurs adversaires Miro Muheim et Isaac Schmidt.

By